This was the first AC game that i played, and i absolutely loved it. The story of Ezio is one of the best in the entire franchise, because is well written and makes you connect with the character. The parkour improves from the original along with the combat. The cities are beautiful crafted and along with the environmental music, its a joy to run across them. Maybe there is no much variation in mission and the side content is lacking, but its a fantastic game and a great entry point if you want to begin with the franchise
(Review from Jan 2020) A classic Assassin’s Creed. Great story, memorable areas and characters. A little aged though. The modern day bits are kind of weird and long now but I still have a soft spot for this game. It would be a little better if some of the feathers weren’t as hard to keep track of, and if it didn’t pad out side quests with endless assassination missions.
L'écriture d'une séquelle est, de ce que j'ai entendu d'auteurs et d'autrices, un exercice profondément difficile. L'auteur-e sait ce qu'iel a aimé dans son oeuvre, mais quand est-il des lecteurs et lectrices, des visionneurs et visionneuses, joueurs et joueuses ? Doit-iel alors s'orienter pour pallier les critiques faites à l'oeuvre originelle, ou bien doit-iel plutôt miser sur ses forces et continuer sur sa lignée ? La première option peut faire perdre l'âme, l'originalité de l'idée de départ, mais elle promet aussi moins de friction avec les masses. La deuxième est un choix de conviction qui peut finalement ne rien rapporter, mais rester sur sa lancée, sur son projet reste admirable.
Dans le monde des jeux vidéo, plusieurs séquelles sur des consoles comme la NES sont reconnues pour leurs particularités ou, au contraire, pour leur absence d'innovation. Pensez aux deux versions de Super Mario Bros 2 : celle japonaise, "Lost Levels", est diablement difficile et orientée pour défier les joueurs et joueuses ; celle américaine, "Doki Doki Panic", est tellement différente que nombre d'ennemis de la série Mario viennent de ce jeu original! Heureusement, les deux options restent aujourd'hui disponibles et sont culturellement reconnues toutes deux comme une suite, une pierre angulaire pour leur série.
Pourquoi ai-je pris le temps de développer tout ceci avant de parler d'Assassin's Creed II, premier jeu de la saga d'Ezio Auditore da Firenze ? Eh bien, parce que ce jeu est... particulier pour de nombreuses raisons.
Sur le plan narratif, on passe d'une exploration philosophique et théologique de la folie, de la libre pensée, du libre-arbitre et du contrôle vécue par un homme né Assassin, Altaïr Ibn-La'Ahad, à une histoire de vengeance, de développement émotionnel et professionnel d'un jeune Italien charismatique dont les émotions sont claires. On remarque déjà une grande distinction autour du personnage central, mais aussi en ce qui concerne les thèmes du récit.
Non seulement l'aspect narratif a changé, offrant presque un protagoniste de film d'action à la Indiana Jones, mais le simple fait que le jeu offre maintenant des sous-titres pour toutes les langues de jeu, un HUD dans les - rares - sections du présent, des entrées dans l'Animus pour s'intéresser à l'Histoire de l'Italie et à son architecture en plus de la disparition des discussions entre Desmond Miles et Warren Vidic déloge l'aspect philosophique au profit d'une histoire simple à suivre, manquant de complexité une fois qu'Ezio pose pied à Venezia la belle, mais probablement plus intrigante et agréable.
Non seulement le narratif a changé, mais l'aspect vidéoludique aussi, avec des missions moins répétitives, misant sur une variété autant dans les zones et villes explorées que dans le style.
Pourquoi ne pas passer d'une infiltration d'une villa grandement protégée à l'escalade de multiples tours protégées par des archers à éliminer au préalable pendant qu'un prêtre fou scande des psaumes par peur de la mort qui s'approche sous une capuche blanche ?
Ou encore une séquence en chariot assiégé par des cavaliers et archers qui cherchent à éliminer notre héros, séquence suivie d'une petite mission d'escorte d'une femme en gondole pour obtenir accès à un traversier ?
Ou encore prendre en filature un messager rapide pour lui voler son armure et ainsi se déguiser et se fondre parmi les ennemis d'Ezio et ainsi atteindre sa cible ultime, Rodrigo Borgia, homme qui deviendra sous peu pape ?
La variété des objectifs non-optionnels de ce jeu est une joie et une belle expérience, quoiqu'elle retire le côté "ombre" des Assassins du premier jeu pour miser sur un côté plus "action" qui ne peut que plaire à plusieurs.
Mais le parkour, oh le parkour! Demandez aux vétéran-es de cette série et iels vous le diront : "Classic Creed" est une joie pour sa maniabilité et les séquences de parkour sur lesquelles on peut tomber! De bas en haut, de gauche à droite, le jeu nous pousse à expérimenter, à trouver de nouveaux chemins, à s'améliorer. Avec une ville simple comme Firenze à la belle Venezia toute en hauteur en passant par Forlì la sombre et aqueuse, le jeu propose différents environnements, tous uniques, et cette pluralité environnementale complémente à merveille le parkour raffiné depuis le premier jeu.
Globalement, ce jeu a des défauts, notamment les deux séquences DLC aujourd'hui obligatoires pour finir le jeu, séquences clairement moins pertinentes que celles de base, le système de combat qui peut devenir lourd par moments dépendamment des compétences acquises par Ezio ou encore le contenu optionnel qui ne mérite pas vraiment d'être vécu, sérieusement ces contrats d'assassinat sont ennuyeux. Pourtant, ce qui est là, ce qui est raffiné reste pertinent, intéressant, agréable. Ce n'est pas pour rien que Bugisoft a décidé d'exploiter cette franchise comme elle l'a fait, la laissant léthargique au passage : AC2 est vraiment une gemme, une relique d'une époque encourageante et pleine d'innovation dans la sphère vidéoludique. Ne prenez pas mes critiques pour des insultes, mais pour avertir que ce jeu s'est distancé de la vision originelle de Patrick Désilets, offrant un meilleur jeu, mais avec de simples lacunes narratives et thématiques.
Dans le monde des jeux vidéo, plusieurs séquelles sur des consoles comme la NES sont reconnues pour leurs particularités ou, au contraire, pour leur absence d'innovation. Pensez aux deux versions de Super Mario Bros 2 : celle japonaise, "Lost Levels", est diablement difficile et orientée pour défier les joueurs et joueuses ; celle américaine, "Doki Doki Panic", est tellement différente que nombre d'ennemis de la série Mario viennent de ce jeu original! Heureusement, les deux options restent aujourd'hui disponibles et sont culturellement reconnues toutes deux comme une suite, une pierre angulaire pour leur série.
Pourquoi ai-je pris le temps de développer tout ceci avant de parler d'Assassin's Creed II, premier jeu de la saga d'Ezio Auditore da Firenze ? Eh bien, parce que ce jeu est... particulier pour de nombreuses raisons.
Sur le plan narratif, on passe d'une exploration philosophique et théologique de la folie, de la libre pensée, du libre-arbitre et du contrôle vécue par un homme né Assassin, Altaïr Ibn-La'Ahad, à une histoire de vengeance, de développement émotionnel et professionnel d'un jeune Italien charismatique dont les émotions sont claires. On remarque déjà une grande distinction autour du personnage central, mais aussi en ce qui concerne les thèmes du récit.
Non seulement l'aspect narratif a changé, offrant presque un protagoniste de film d'action à la Indiana Jones, mais le simple fait que le jeu offre maintenant des sous-titres pour toutes les langues de jeu, un HUD dans les - rares - sections du présent, des entrées dans l'Animus pour s'intéresser à l'Histoire de l'Italie et à son architecture en plus de la disparition des discussions entre Desmond Miles et Warren Vidic déloge l'aspect philosophique au profit d'une histoire simple à suivre, manquant de complexité une fois qu'Ezio pose pied à Venezia la belle, mais probablement plus intrigante et agréable.
Non seulement le narratif a changé, mais l'aspect vidéoludique aussi, avec des missions moins répétitives, misant sur une variété autant dans les zones et villes explorées que dans le style.
Pourquoi ne pas passer d'une infiltration d'une villa grandement protégée à l'escalade de multiples tours protégées par des archers à éliminer au préalable pendant qu'un prêtre fou scande des psaumes par peur de la mort qui s'approche sous une capuche blanche ?
Ou encore une séquence en chariot assiégé par des cavaliers et archers qui cherchent à éliminer notre héros, séquence suivie d'une petite mission d'escorte d'une femme en gondole pour obtenir accès à un traversier ?
Ou encore prendre en filature un messager rapide pour lui voler son armure et ainsi se déguiser et se fondre parmi les ennemis d'Ezio et ainsi atteindre sa cible ultime, Rodrigo Borgia, homme qui deviendra sous peu pape ?
La variété des objectifs non-optionnels de ce jeu est une joie et une belle expérience, quoiqu'elle retire le côté "ombre" des Assassins du premier jeu pour miser sur un côté plus "action" qui ne peut que plaire à plusieurs.
Mais le parkour, oh le parkour! Demandez aux vétéran-es de cette série et iels vous le diront : "Classic Creed" est une joie pour sa maniabilité et les séquences de parkour sur lesquelles on peut tomber! De bas en haut, de gauche à droite, le jeu nous pousse à expérimenter, à trouver de nouveaux chemins, à s'améliorer. Avec une ville simple comme Firenze à la belle Venezia toute en hauteur en passant par Forlì la sombre et aqueuse, le jeu propose différents environnements, tous uniques, et cette pluralité environnementale complémente à merveille le parkour raffiné depuis le premier jeu.
Globalement, ce jeu a des défauts, notamment les deux séquences DLC aujourd'hui obligatoires pour finir le jeu, séquences clairement moins pertinentes que celles de base, le système de combat qui peut devenir lourd par moments dépendamment des compétences acquises par Ezio ou encore le contenu optionnel qui ne mérite pas vraiment d'être vécu, sérieusement ces contrats d'assassinat sont ennuyeux. Pourtant, ce qui est là, ce qui est raffiné reste pertinent, intéressant, agréable. Ce n'est pas pour rien que Bugisoft a décidé d'exploiter cette franchise comme elle l'a fait, la laissant léthargique au passage : AC2 est vraiment une gemme, une relique d'une époque encourageante et pleine d'innovation dans la sphère vidéoludique. Ne prenez pas mes critiques pour des insultes, mais pour avertir que ce jeu s'est distancé de la vision originelle de Patrick Désilets, offrant un meilleur jeu, mais avec de simples lacunes narratives et thématiques.
Insane how far this game has fallen from grace in my eyes. Loved it in 2009 and felt it was a huge leap as a sequel. Revisiting it shows it as an ugly follow up to the really solid original, not only from a design perspective but visually too. Massive drop in visual style somehow, with new half cooked mechanics duct taped on that feel like they only work 25% of the time.
I loved everything about this game, from Ezio's striking personality and his very engaging story, I liked the maps and I don't know why but they give me a good and relaxing vibe doing parkour on them (when there are no guards behind you) I would give it 4,5 stars but unfortunately the combat is horrible and dated and makes any confrontation a nightmare.
Replayed this on PS4. The essential Assassin's Creed game. Ezio is almost upsettingly good as a protagonist of a video game, the setting of Renaissance Italy feels alive and loved. This was a replay, I played it for the first time when I was a kid. It still holds up, the only place it stumbles is the weird timeskips and mission structure towards the end of the game. But the highpoints of the game make it impossible for me to give it anything less than a perfect score. Play it.