This review contains spoilers
We cannot deny that this game quickly establishes a unique horror atmosphere and creates genuinely cinematic scenes. The camera operates like a tracking shot, and it's the impossibility of accessing the boy's vision (looking forward or backward) that creates this sense of agoraphobia. Some scenes are visually gripping, especially the 'dead pig farm' at the beginning and the 'upside-down zombies.' The grand finale, where our solitary character, who has been the prey of the entire environment until now, becomes the predator, is a masterstroke.
No doubt a 'non-gamer reviewer' could write a review as I just did. One could then stamp it with the label 'Masterpiece, 10/10.' In this sense, it's important to note that Inside is an 'artist' game that has received grants supporting artistic production. Inside is a game that draws strength from artistic mediums such as cinema, painting, dystopian novels, and ambient music. The game aims to be an artistic masterpiece that could potentially attract a broader audience than the limited 'puzzle-platformer' audience. For gamers who are enthusiasts of this genre, Inside may be too simple, too short, and too repetitive. I personally found it less interesting than Limbo (its predecessor) in terms of gameplay.
However, I believe it's essential not to impose expectations that Inside cannot meet. Inside manages to be strange, surprising, but above all, accessible. It's the kind of game that elevates video games to the status of a medium with artistic potential. It could also be the first game for a 'non-gamer.' So, let's not dismiss it, shall we?
FR : On ne peut nier que ce jeu sait rapidement construire une ambiance horrifique unique et créer des scènes véritablement cinématographiques. La caméra fonctionne comme un traveling et c’est l’impossibilité d’accéder à la vision du garçon (voir en avant ou en arrière) qui créer ce sentiment d'agoraphobie. Certaines scènes sont picturalement prenantes, je pense notamment à « ferme aux cochons morts » du début et aux « zombies pendus à l’envers ». Le grand final où notre personnage solitaire, qui est, jusque-là, la proie de tout l’environnement devient le prédateur est un coup de maitre.
Pas de doute qu’un « non-gamer reviewer » pourrait écrire une critique comme je viens de le faire. On y collerait alors le tampon « Masterpiece, 10/10». En ce sens il est important de noter que Inside est un jeu « d’artiste » qui a touché des subventions qui soutiennent la production artistique. Inside est un jeu qui emprunte sa force à des médiums artistiques tel que le cinéma, la peinture, le roman dystopique et la musique ambient. Le jeu se veut une épure artistique qui pourrait potentiellement attirer un public plus large que le public restreint des « puzzle plate-former ». Pour ces gamers amateurs du genre, Inside est trop simple, trop court, trop répétitif. J’ai personnellement trouvé moins intéressant que Limbo (son prédécesseur) niveau gameplay.
Je pense toutefois qu’il ne faut pas plaquer des attentes qu’Inside ne peut répondre. Inside réussit à être étrange, surprenant, mais surtout accessible. Typiquement le genre de jeu qui d’élever le jeu vidéo au rang de médium à potentialité artistique. Cela pourrait aussi être le premier jeu pour un-e « non-gamer ». Alors on ne va pas cracher dessus, non ?
No doubt a 'non-gamer reviewer' could write a review as I just did. One could then stamp it with the label 'Masterpiece, 10/10.' In this sense, it's important to note that Inside is an 'artist' game that has received grants supporting artistic production. Inside is a game that draws strength from artistic mediums such as cinema, painting, dystopian novels, and ambient music. The game aims to be an artistic masterpiece that could potentially attract a broader audience than the limited 'puzzle-platformer' audience. For gamers who are enthusiasts of this genre, Inside may be too simple, too short, and too repetitive. I personally found it less interesting than Limbo (its predecessor) in terms of gameplay.
However, I believe it's essential not to impose expectations that Inside cannot meet. Inside manages to be strange, surprising, but above all, accessible. It's the kind of game that elevates video games to the status of a medium with artistic potential. It could also be the first game for a 'non-gamer.' So, let's not dismiss it, shall we?
FR : On ne peut nier que ce jeu sait rapidement construire une ambiance horrifique unique et créer des scènes véritablement cinématographiques. La caméra fonctionne comme un traveling et c’est l’impossibilité d’accéder à la vision du garçon (voir en avant ou en arrière) qui créer ce sentiment d'agoraphobie. Certaines scènes sont picturalement prenantes, je pense notamment à « ferme aux cochons morts » du début et aux « zombies pendus à l’envers ». Le grand final où notre personnage solitaire, qui est, jusque-là, la proie de tout l’environnement devient le prédateur est un coup de maitre.
Pas de doute qu’un « non-gamer reviewer » pourrait écrire une critique comme je viens de le faire. On y collerait alors le tampon « Masterpiece, 10/10». En ce sens il est important de noter que Inside est un jeu « d’artiste » qui a touché des subventions qui soutiennent la production artistique. Inside est un jeu qui emprunte sa force à des médiums artistiques tel que le cinéma, la peinture, le roman dystopique et la musique ambient. Le jeu se veut une épure artistique qui pourrait potentiellement attirer un public plus large que le public restreint des « puzzle plate-former ». Pour ces gamers amateurs du genre, Inside est trop simple, trop court, trop répétitif. J’ai personnellement trouvé moins intéressant que Limbo (son prédécesseur) niveau gameplay.
Je pense toutefois qu’il ne faut pas plaquer des attentes qu’Inside ne peut répondre. Inside réussit à être étrange, surprenant, mais surtout accessible. Typiquement le genre de jeu qui d’élever le jeu vidéo au rang de médium à potentialité artistique. Cela pourrait aussi être le premier jeu pour un-e « non-gamer ». Alors on ne va pas cracher dessus, non ?