Je m'attendais à une démo naze faisant office de panneaux publicitaire et bien ce n'est pas du tout le cas. C'est un très bon jeu. Gameplay arcade qui rappel parfois les meilleurs phases de plateforme de super mario 64. Seule les mini jeux qui utilise les capteurs de mouvement sont un peu en reste (ex: la grenouille ou le vaisseaux). Car même si c'est pour démontrer les fonctionnalités de la Dualshock cela reste une des mécaniques les plus barbante que l'on peut trouver dans un jeu, à mon humble avis, car personne n'a envie de jouer en agitant les bras comme dans une vielle pub de jeuxvideo). Donc ces phases de gameplay peuvent vite devenir peu intéressante même si elle reste plutôt simple. Il y a une utilisation habile de la firme playstation et de son image que ce soit avec les refs aux exclu parsemé dans tout les niveaux (Sony s'est enfin souvenu de Bloodborne), les visuels du labo(la fresque et les artefacts interactifs) ou encore le level design qui rappelle les console de Sony(le hobby Play 5 avec le CPU, le SSD et j'en passe). Mais aussi les fonctionnalité de la manette et de la console (retour haptique, gachette adaptative, SSD...).

Ce jeu est finalement une petite madeleine de Proust agréable rempli de volonté, qui a réussi à faire appel quelquefois à ma nostalgie (ce que je ne lui sentais pas capable) alors que je n'est aucun sentiment d'appartenance à Playstation, du moins je crois.

Je m'attendais à une démo naze faisant office de panneaux publicitaire et bien ce n'est pas du tout le cas. C'est un très bon jeu. Gameplay arcade qui rappel parfois les meilleurs phases de plateforme de super mario 64. Seule les mini jeux qui utilise les capteurs de mouvement sont un peu en reste (ex: la grenouille ou le vaisseaux). Car même si c'est pour démontrer les fonctionnalités de la Dualshock cela reste une des mécaniques les plus barbante que l'on peut trouver dans un jeu, à mon humble avis, car personne n'a envie de jouer en agitant les bras comme dans une vielle pub de jeuxvideo). Donc ces phases de gameplay peuvent vite devenir peu intéressante même si elle reste plutôt simple. Il y a une utilisation habile de la firme playstation et de son image que ce soit avec les refs aux exclu parsemé dans tout les niveaux (Sony s'est enfin souvenu de Bloodborne), les visuels du labo(la fresque et les artefacts interactifs) ou encore le level design qui rappelle les console de Sony(le hobby Play 5 avec le CPU, le SSD et j'en passe). Mais aussi les fonctionnalité de la manette et de la console (retour haptique, gachette adaptative, SSD...).

Ce jeu est finalement une petite madeleine de Proust agréable rempli de volonté, qui a réussi à faire appel quelquefois à ma nostalgie (ce que je ne lui sentais pas capable) alors que je n'est aucun sentiment d'appartenance à Playstation, du moins je crois.

Tres sympa la note globale de 3,7 me semble être juste. On sent qu'il y a un souci du détails dans l'architecture et le level design. La BO, qui s'inspire sûrement du travail de Vangelis sur Blade Runner, accompagne super bien les phases de découvertes, contemplations. Dommage cela dit que la fin tire en longueur, à mon humble avis, que ce soit au niveau du gameplay ou des visuels (il y a peut-être 5 min de kaléidoscope de trop, de belles couleurs et de beau visuel. En plus de cela les dernières énigmes aurait mieux fait, je pense, d'être condensée dans une seule et même grosse énigme plus difficile, plutôt que d'enchaîner des plus petites énigmes plus dur que les précédentes certes mais surtout plus nombreuses. Cela nous aurait fait sentir le chemin parcouru et aurait permis de confirmer que le joueur à bien assimilé les mécaniques et donc mérite de finir le jeu. Où alors ce ressenti est dû au fait que j'ai trouvé certaines énigmes facile, mais comme nombreuses, plus longue, mais ce niveau de difficulté ne m'a pas déplut car cela aurait pu être plus frustrant.)

Un opus qui suit son prédécesseur déjà très bon. Donc on a un produit encore plus abouti. Les seules défauts que je noterais serait la difficulté trop peu élevée alors que la trame narrative se déroule dans un championnat mondial face aux meilleurs footballeur de la planète, supposément. Même si ça reste un jeu avec pour public cible les enfants/ ado cela ne l'empêche d'équilibré sa difficulté pour nous faire ressentir la tension et créer des souvenirs inoubliables dans la têtes des gosses (certains de mes souvenirs de jeu remarquable présentait des moments à la difficulté ardu, ce qui était d'autant plus marquant. C'est la recette From Software et c'est l'une des raisons pur laquelle elle plaît tant). Ensuite l'écriture est ce qu'on peut attendre d'un jeu vidéo pour enfant donc cela ne m'a pas dérangé mais j'ai moins été fan du scénario qui s'éparpille sur énormément d'histoire annexe ce qui rend le tout un petit peu indigeste, je trouve. Mais ce n'est pas si dérangeant heureusement, car on garde le fil rouge du mondial tout le long. Puis le système de gacha pour le recrutement qui est vraiment une perte de temps pour le joueur(volonté de game design ou non de la part de Level 5, je ne sais pas). J'ajouterais pour finir la meta qui tourne plus autour de l'économie des points de techniques car les techniques spéciales consomme, pour la plupart, beaucoup. Donc la meta consiste à utiliser que des techniques à faible coût et en abuser jusqu'à épuisement ou alors avoir des joueurs avec une stat de PT énorme et donc médiocre dans les autres domaine, ce qui importe peu car tout ce qui compte c'est de spammer les techniques.

Donc voilà cela reste un bon jeu. Level 5 est toujours un aussi bon studio pour ce qui s'agit des jeux DS (Professor Layton et autres...)

Bon bas c'était super. Encore une fois une œuvre qui prouve que le jeux vidéo est un média unique pour exercer sa créativité et sa singularité.

Story telling environnemental génialissime: le jeu ne parle pas et pourtant dit tellement de choses (le simple fait de nous faire recommencer au début, après la fin , telle une boucle pose des questions auxquelles on a envie de répondre on a envie d'en savoir plus sur ce monde et sur son histoire qui se déroule sous nos yeux). Même la motion capture est bien fignolé notre protagoniste se démène et produit effort sur effort, jusqu'à épuisement malgré son petit gabarit dû a son jeune âge et quand on meurt c'est de manière franche et gore, sans faux-semblant car on est en proie à un monde sans pitier dans lequel notre frêle corps ne pourra pas résister longtemps et pourtant on continue d'avancer encore et encore.

L'ambiance est très travaillée(la zone des bureaux froide et étrangement inhospitalière, le gigantisme des usines jonchées de cadavre de machines, les sinistres bois angoissant car rempli de gardes...).

En terme de gameplay c'est simple et c'est efficace (3 commande pas besoin de plus). Le jeu utilise bien sa boucle de gameplay tout en la renouvelant en ajoutant des idées de game design très sympa pour nous tenir jusqu'au bout (la masse de chair ou encore la zone bombardée constamment d'ondes de choc). À telle point qu'on se dit qu'on en veut plus.
J'ai trouvé le level design très bien programmé, que ce soit sur l'agencement des énigmes (toutes très réussites et équilibrées, ni trop barbante ni trop guidée comme par exemple: celle avec l'eau au plafond) mais aussi le timing des déclencheurs de course poursuite qui m'ont tendu à chaque fois tellement on s'en sort toujours in extremis.

Je dois avouer que j'ai eu peur que le jeu s'enferme dans un discours pompeu sur les ravages du système capitaliste et même si il y a de ça il faut l'avouer, cela reste au bout de jour et jamais trop flagrant pour être désagréable car le jeu nous raconte son histoire et nous laisse interpréter sans émerger de sa fiction pour nous lancer mot pour mot une leçon moralisatrice au visage et ça c'est rafraîchissant.
En somme un jeu très cool.

Sympatoche comme tout. Créatif et poétique dans ses allégories (la forêt en feu, les machines dysfonctionnelle...). Une DA élégante. Un sound design vraiment réussi (la façon dont le jeu peut te mettre mal à l'aise en peu de temps avec l'ambiance qu'il installe, les arbres qui grince (ça me fait penser à the witcher), et autres bruit d'animaux qui rend le lieux inquiétant.
Le rythme réussi à tenir le jeu (bonne idée d'avoir raccourcie les niveaux au fur et à mesure car je pense que le jeu aurait pu s'essouffler si il avait tous garder la même longueur que le premier pour toute les autres séquences.) de justesse vis à vis du gameplay qui sert des énigmes très facile voir même parfois inutile. À telle point qu'on se demande parfois si ça valait la peine de créer un jeux-vidéo.
Certaines personne joue assez mal, je pense à une personne en particulier, que je nommerais pas pour ne pas lui manquer de respect car après tout the forest quartet, même si il n'est pas un produit parfait, nous chante un hommage pour lequel, par principe, on ne peut pas être insensible (c'est un jeu tout de même dédié à une personne décèdé).