Bio
Une note seule n'égale pas un jugement motivé. Un peu de blabla ce n'est pas si mal.

Joueur issu d'une époque où les jeux pouvaient coûter un bras, pas d'internet, un marché de l'occase quasi inexistant et avec des finances familiales qui ne permettais pas d'en acquérir beaucoup, j'ai pris l'habitude de me contenter de ce que j'avais et de passer du temps sur un jeu, même médiocre. Fautes de grives, je n'enfilais pas des perles...
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Dans la grand famille des jeux qui vous veulent du mal, Nebulus est une valeur sûre. Plutôt agréable graphiquement mais punitif à souhait, avec des pièges vicieux indétectables, et vous mettant la pression à chaque instant, c'est un vrai jeu à traquenards. Votre objectif, gravir 8 tours ; celui du jeu, vous faire dégringoler et boire le bouillon par tous les moyens. Nebulus s'adresse à un public particulier : des joueurs issus d'une autre époque, aguerris aux défis parfois insensés proposés par les développeurs, humbles devant la fatalité ou oeuvrant à le devenir, persévérants, revenchards, et un peu teigneux sur les bords. C'est le type de jeu profondément gratifiant quant on en parvient à bout : car cette victoire est, au final, avant tout une victoire sur soi-même dû à la maîtrise nécessaire pour ne pas réduire en miettes clavier, manette, etc. Pour les autres, Nebulus semblera un jeu développé par des sadiques à destination d'un public de masochistes.

Retrouvailles réussies quelques années après l'avoir parcouru sur XBOX 360 à l'occasion de sa sortie. Ce qui me plut à l'époque me séduit encore aujourdhui. Un scénario intéressant et très bien mis en scène. Une aventure qui n'est ni trop courte ni trop longue et qui se laisse parcourir agréablement, un peu comme un film très interactif. Le côté huis clos : pas d'"Open World", un bon level design à la place et une île à la dimension de l'aventure. Un gameplay maîtrisé à la croisée de plusieurs genres et qui diversifie l'expérience de jeu. Le mode défi et un 100% qui prolongent notablement la durée de jeu. Batman Arkham Asylum demeure aujourd'hui un jeu solide et agréable à jouer, et ce malgré les années et ses suites.

Il y a beau y avoir eu le 2, le 3 & le 4, ce premier opus garde une bonne place dans le coeur d'un grand nombre de joueurs, dont le mien. La qualité de sa réalisation, ses musiques cultes, une profondeur de jeu correcte malgré la simplicité de son gameplay ont su lui conserver un attrait qui n'est pas uniquement dû au fait d'être le premier opus d'une série incontournable dont il devait définir le cadre.

Classique de la Mega Drive qui, aux côtés d'autres Sonic the Hedgehog et Kid Chameleon, avait finit par figurer parmi les basiques de la console, Streets of Rage garde encore aujourd'hui beaucoup de son panache, et de sa difficulté aussi.

Et ce n'est pas la seule nostalgie des heures passées à écumer les rues mal famées de Wood Oak City, à casser du truands, avec l'appui balistique des forces de l'ordre qui n'hésitaient pas alors à faire feu en pleine rue, à grands coups de roquettes, et sur simple demande, qui motivent l'écriture de ces quelques lignes. Car si un petit brin de nostalgie il y a, ce dernier ne peut porter ombrage ni à l'intensité ni au charme réel de ce bon beat them up.