Quelques phases en dehors de la station sont un peu pénible mais rien que pour la musique d'ouverture, le jeu vaut le détour.

Un des systèmes de combat les plus chouette de la licence, techniquement plutôt solide, on comprend l'histoire dans l'ensemble mais le lore est un peu imbitable. Mention spéciale au personnage de Vanille dont la voix et les mimiques sont absolument relous.

Le jeu manquait encore un peu de personnalité, les phases de shoots sont pas très intéressantes mais les bases de la licence sont là. Ca a quand même vieilli techniquement.

L'épisode où tout commença. Autant dire que ça a sacrément vieilli, qu'il n'y a plus d'intérêt à le faire aujourd'hui avec la sortie du Kiwami et que les voix anglaises sont vraiment ennuyeuses.

Je pense pas que ça soit aussi bien que dans mes souvenirs mais c'est le premier Fire Emblem que j'ai pu faire car traduit en français et j'en garde encore aujourd'hui un souvenir assez vivace. Ca manque un poil de personnalité dans l'écriture des personnages, contrairement à ce que deviendra la série bien plus tard, mais les mécaniques de jeu addictives sont déjà présentes.

Chouette remake des deux premiers épisodes de la saga Final Fantasy. Le 1 est fun à faire dans cette version, même si la difficulté et le déroulement de l'aventure a du prendre un coup de vieux. Le deux est et restera à jamais l'épisode foireux et pas intéressant à faire. Les deux jeux sont par contre plutôt beaux visuellement.

Scénario un peu éclaté et quelques règles de combat un peu contraignantes mais sinon, c'est vraiment du tout bon. C'est joli visuellement, on est vraiment dans l'esprit Final Fantasy Tactics.

L'enrobage est top, l'anime est respecté et bien retranscrit dans ce jeu de combat. Dommage que la maniabilité soit un peu confus par moments et le gameplay manque un peu de profondeur. Ca reste un jeu de plutôt chouette pour la Game Boy Advance.

C'est mignon et fun à jouer mais un peu limité niveau tactique. Ca a au moins le mérite d'être assez court comme jeu (17h environ)

Comme pour Final Fantasy VI, quel plaisir d'avoir ce jeu dans une version portable. Mis à part la partie sonore qui est moins bonne à cause des limitations de la GBA, c'est le même jeu que l'original. Il y a aussi l'ajout du mini jeu Four Swords mais jamais eu l'occasion de la tester en multi.

Le meilleur J-RPG 2D de tous les temps dans la poche, que demander de plus. Le chipset sonore de la GBA étant ce qu'il est, la partie sonore est un peu moins bien que sur Super Nintendo mais franchement c'est un détail et ca n'enlève en rien toutes les qualités du jeu d'origine. L'un des plus grands jeux à avoir sur la GBA.

Ca reprend cette fois les bases de KoF 2000, c'est toujours efficace et agréable à prendre en main. Toujours une ambiance sonore un peu moindre et quelques persos en moins (mais des nouveaux persos inédits au passage) mais c'est de bonne facture pour une console portable.

Le jeu se base fortement sur King of Fighters '99 et malgré les craintes initiales, force est de constater que cette version de poche est plutôt convaincante. C'est plutôt joli, ça manque un peu d'ambiance sonore et d'un peu plus d'animations mais c'est très jouable, on se surprend à passer du temps dessus. Un bon jeu de baston pour la petite GBA.

Réussir à faire un FPS sur une console portable comme la Game Boy Advance est une prouesse en soi et techniquement, le jeu est relativement solide. Il y a bien quelques baisses de framerate, une pixelisation un peu trop forte mais ça reste jouable de bout en bout. Ca reste jouable aussi parce que les mecs de Torus Games ont su adapter la jouabilité aux petits boutons de la console et même si cela demande un petit temps d'adaptation, on prend vite ses marques.
La performance est donc là mais quid du reste? Et bien, c'est là que le bât blesse. On retrouve une partie du bestiaire et de l'arsenal de la licence Duke Nukem, quelques ajouts/modifications rigolos mais sans grand intérêt, mais le jeu pâtit surtout d'un manque de rythme. La faute à la non présence de musique durant tout le jeu, de phases d'action pas très intéressantes à cause du faible nombre d'ennemis liés aux limitations de la console. Le jeu est aussi bien trop court (2h30 grand max), on en fait vite le tour et à part un mode multi local, il n'y a pas forcément de raisons de revenir sur le jeu une fois fini.

Le syndrome du jeu "C'est cool de l'avoir fait malgré les limitations techniques mais fallait-il vraiment le faire?".

Yakuza : Like a Dragon, c'est la preuve que la série avait encore beaucoup de marge pour se renouveler et évoluer, dans le bon sens, et offrir l'un des meilleurs épisodes de la licence.

Visuellement, le Dragon Engine est de plus en plus maitrisé et ça se voit : ça tourne vraiment très bien, c'est très joli et comme toujours, des animations faciales toujours aussi bluffantes. Le nouveau terrain de jeu est chouette à parcourir avec plein d'activités à droite et à gauche. Pour le gameplay, le choix d'avoir fait de Yakuza un J-RPG avait de quoi laisser dubitatif mais finalement, quel choix payant. Ce sytème simple hommage à Dragon Quest avec un système de jobs basique mais rigolo, il y a de quoi faire pour s'amuser. J'avais pu reprocher un manque de profondeur (à raison) que les animations drôles compensaient, c'est aussi surtout que c'est un jeu dont la synergie entre les partenaires priment avant tout : toujours alterner pour avoir la bonne combinaison pour finir plus vite les combats et c'est assez satisfaisant de voir les barres de vie fondre quand on y arrive.

La synergie, c'est bien le maître mot de cet épisode : au delà des combats, c'est surtout dans l'écriture que ça se ressent. De tous les épisodes que j'ai fait, c'est le Yakuza le mieux écrit, celui qui aborde des sujets qui changent des Yakuza habituels, celui qui m'aura beaucoup touché à plusieurs reprises au point de verser ma larme. Sans en dévoiler plus pour ceux qui tenteront l'aventure comme moi en retard, la bande de personnages qu'on suit a une vraie dynamique de groupe hyper plaisante : ça se vanne, ça rigole, ça se soutient etc... Et surtout, Kasuga Ichiban ❤️ On peut s'identifier à lui, il est très expressif et positif. Peut-être hot take mais il aura réussi à remplacer Kiryu dans mon coeur en un épisode.
Ah et la musique de générique de fin, je vais l'écouter pendant des mois tellement c'est ma came ❤️ Tellement envie de la chanter au karaoké haha

Inconsciemment, je pense que c'était dans cette direction que je voulais que Yakuza se dirige au niveau de l'écriture. Pari réussi pour ma part et fait de ce "Yakuza : Like a Dragon" peut-être mon préféré de la licence pour le moment, même s'il y a toujours le Zero qui rôde.