Pas mal de bugs, mais une aventure avec des persos attachants (et d'excellentes répliques de Rocket), avec quelques délires visuels, et une bande-son au top !
N'invente rien, mais fait les choses globalement bien.

Sacrée friandise pleine de challenges divers et variés, c'est super agréable à manier.
Les phases de furie ont également un peu de challenge (surtout quand on essaie de récupérer des astres félin au passage)
Très bon moment dessus !

Que j'ai pu poncer ce jeu, que ce soit en solo pour l'or 3 étoiles, en local avec les potes ou en ligne !
Des bonnes sensations, l'apprentissage du sneaking, les courses vraiment cool... Que des bons souvenirs de cet épisode !

Grosse découverte, plus de 20 ans après sa sortie, pour un jeu très important de l'ère PS2/Xbox/Gamecube,... mais peut-on remonter autant le temps, découvrir la formule de l'époque et apprécier la proposition ?
Après une intro-tuto, le jeu se dévoile vraiment sous nos yeux : la corruption des êtres par des Sables libérés, un Vizir qui n'en a pas fini de trahir tout ce qui respire, et notre Prince qui va devoir se frayer un chemin dans un Palais gigantesque, rempli de monstres à occire, de puzzles à déverouiller, et de portes à ouvrir pour avancer. Majorité du jeu on est secondé par Farah, fille du Maharadjah qui détenait les Sables et la Dague du Temps dans son palais. Elle nous aidera pour des puzzles et également en combats avec son arc...
Côté plateforme, si les environnements sont très carrés (2003 hein), les déplacements du Prince sont fluides, répondent plutôt bien, même si parfois il y a un peu de frustration dans les actions quand on veut sauter d'un mur. Mais les Sables sont là pour qu'on puisse remonter le temps et éviter à nouveau le problème.
Côté combats, on en arrive à du classique mais efficace. Là où depuis dans les jeux (notamment Assassin's Creed, du même créateur (je parle de Patrice Désilets, pas d'Ubisoft)) les ennemis attaquent chacun leur tour, là les monstres n'ont que faire de leurs potes et se lancent dans la bagarre à tout moment, quitte à blesser ou renverser tout le monde. Si bien que cela se révèle parfois un peu brouillon, souvent frustrant, d'enchaîner les moments avec le Prince au sol. Mais rien d'insurmontable pour autant, le jeu est très accessible, et les chorégraphies réalisables rendent le tout dynamique et satisfaisant en tant que joueur.
Et si le jeu reste assez court (8h pour moi), sa proposition est parfaite. Rien à jeter, tout est calibré, un peu comme En Garde ! sorti en 2023 il va à l'essentiel avec ses possibilités de gameplay sans s'éterniser.
Restent des musiques variées (en combat surtout, parce que toute la partie plateforme est quasi silencieuse), un dernier acte assez difficile (mais d'une certaine façon, à voir si le joueur a appris les commandes du jeu), et un combat final un peu décevant et expédié. Il garde aussi quelques séquelles très patriarcales de l'époque, et une partie audio un peu pétée entre les voix des héros tantôt fortes, tantôt non.
Et malgré ses soucis par-ci par-là, l'aventure est toujours au top. Ça bouge bien, le level design est excellent, et le tout est vivant, malgré l'ambiance de MORT qui règne dans chaque salle foulée des pas du Prince. Reste à voir où va le remake en préparation, et qui devait sortir... en janvier 2021.

Très bon 2D platformer, retors, et bien animé. Boss fights assez sympa et musiques au top, et gameplay varié, tant les niveaux que les persos dispo.
Encore une réussite made in Retro Studios.

Après avoir traîné les pieds pendant 3 ans, et un Like a Dragon Gaiden percutant et touchant à la fois, finalement il fallait se lancer dans Yakuza 7 Like a Dragon.
Passé la découverte du RPG à la place du Beat'em all, le côté light sans faire trop de sous-systèmes fait qu'on y adhère assez vite, et que les compétences débloquées donnent lieu, en plus des invocations, à des bons moments WTF en combats.
Mais c'est du côté du scénario que le jeu est une montagne russe de bout en bout, avec en point central Ichiban, Yakuza moyen qui cherche juste des réponses et qui finit au centre de tous les problèmes. Le good guy par excellence, toujours prêt à motiver ses potes pour les aventures, ou à utiliser sa batte de baseball quand ya besoin.
On peut noter par moments des pics de difficulté, mais qui sont au fond parfaitement justifiés, quand on comprend la symbolique derrière. Ça demande de farmer un peu, mais les techniques sont très simples pour obtenir des niveaux facilement.
Au final, reculer pour mieux sauter... et c'était incroyablement bon. Drôle par moments, débiles dans ses attaques, touchant par son héros et son histoire... Un des jeux majeurs de la série.

Petit jeu tout mignon mais aussi débile et très technique pour coller des pieds-bouches avec des animaux sur 2 pattes qui se castagnent comme dans Power Stone.
Ça fait le taff pour des soirées entre potes.

Medal Of Honor Soleil Levant. J'me suis dit "hey c'est un nouveau MoH, En Première Ligne c'était vachement cool donc celui-là ça doit être pareil !"

Et c'est ainsi que j'appris le principe de capitalisation sur le nom d'un jeu au détriment de sa qualité à 15 ans.

C'était pas ouf (sorti de Pearl Harbor qui était assez impressionnant) mais en plus la fin tu sens que c'est inachevé, qu'un second épisode était prévu mais finalement annulé suite aux retours.

Un beau gâchis (et la licence prendra cher pendant des années d'ailleurs).

J'ai arrêté cette drogue avant de plonger dedans indéfiniment. Je dois sauver ma famille, elle a besoin que je travaille pour avoir de l'argent et vivre.

Jeu où Joeystarr prête sa voix à l'un des antagonistes du mode histoire. Et pourtant c'est très bien sinon ! Une des meilleures campagnes solo d'action FPS de ces dernières années (et qui écrase toute campagne de Call Of Duty)
Un jour il y aura un 3... un jour..

Rarement eu un tel kiff devant un jeu, avec sa réalisation au poil, ses animations folles, son humour qui fait mouche, et sa bonne humeur communicative, le tout rythmé avec une playlist Ô combien excellente.
C'est magistral.
Oui on reprochera au jeu d'avoir des niveaux trop longs (45/50min, à couper en 2 c'était parfait) et un bestiaire varié mais un peu swap color, mais il reste généreux dans sa proposition. Un festival qui va crescendo.
Le jeu Scott Pilgrim 3D qu'on n'a jamais eu.
Quel banger.

Une grande aventure en milieu hostile, une belle montée en puissance, et un remaster graphique de haut vol.
Très bon game design (et ce système d'indices ❤️), accessible pour les débutants... Et cette OST (Phendrana lààà)

Qu'est-ce que c'était bon, bordel.

Un titre un brin nunul mais un jeu qui a un charme fou, une bonne dose d'humour et des bonnes idées dans sa besace.
Un peu classique, qui s'essouffle sur la fin, mais quand même bon globalement.

Aventure très bavarde toujours aussi plaisante à parcourir, qui tient la route sur Switch (même si on aurait pu espérer de meilleurs perf graphiques), et un contenu Royal qui étoffe savamment une histoire passionnante.
La musique toujours aussi excellente, les combats toujours aussi techniques, les interactions entre les persos, les mini jeux pour parfaire les associations, et la qualité plutôt bonne de la traduction FR.

Ce fut vraiment cool à (re)faire. Plaisir intact 6 ans après.

Produit par Spielberg, un jeu de puzzle inspiré du Jenga et complètement tordu dans tous les sens, avec son lot de motion gaming, d'explosions, etc.
Une des petites pépites oubliées de la Wii.